Le radicalisme de chez nous : une forme de gouvernance malsaine.
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«Chez nous», une telle expression qui crée de cataplasme communautaire

Bien que c’est nos devoirs de conserver la valeur culturelle, mais cette expression pourrait plutôt collaborer «la valeur culturelle à la valeur républicaine». Si nous réfléchissions de la sorte, on ne devrait pas avoir cette diversité de réclamation ainsi que les conflits intercommunautaires.

En revanche, imaginez vous que vous arrivez dans un milieu Inconnu à vous, vous ne savez pas comment fonctionne ce milieu. De même que vous savez pas comment ces agents agissent ? Vous ne savez pas qu’est ce qui peut vous arriver ? Cette fois ci puis-je m’en sortir? Des telles questions qui vous viennent à l’idée. Mais, le seul réconfort que vous dite c’est que vous êtes humain comme eux.

Je vous recompte l’histoire d’un monsieur qui arrive dans un village éloigné de la ville. Cependant, il se pose autant de ces questions, il ne parle pas leur langue et personne ne comprend le sien. Ainsi, l’orgueil le surgit et il commence à se plaindre de leur façon de vivre, ainsi que leur manière de faire. Il se dit, je suis quand même le fonctionnaire de l’Etat et je ne peut me plier à leur façon. Ensuite, un jour où le monsieur avait besoin de la communauté pour éteindre l’incendie chez lui, subitement la population vient à son secours et c’est ce jour là qu’il s’est rendu compte que c’était sa nouvelle famille. Ce jour, il a demandé pardon à la population et commence à se comporte comme eux en se disant que nous tous nous appartenons à une seule famille mais simplement que nous avons grandis dans des milieux différents.

Ce phénomène de «chez nous» crée des paradoxes infernal, de l’indivision, de cataplasme communautaire. Des telles phénomènes «Discrimination, préjugé, stéréotype, extrémisme» sont des phénomènes à barrer dans nos différentes communautés. C’est devenu récurrent où l’enfant est éduqué de manière redondant et non de manière reposant dans la communauté où son seul inspiration c’est le développement durable mais pas une destruction perverse réservée sur l’altruisme imaginaire en vers ses semblables. «chez nous» des telles propos de la gouvernance malsaine inculquée par ses ancêtres du fait que la communauté est une source de zombification et non une charité, de l’hospitalité réservée à notre devenir.

Ce qui se passe à l’extrême-nord Cameroun est précaire au gouvernement car ce phénomène avait été une fois produit il y à de celà quelques années dans l’arrondissement de Maga à la frontière Tchad-Cameroun dans le département de Mayo-Danay où deux communautés (pêcheurs et agriculteurs) ce sont affrontés pour réclamer ce qui leur est dû. Ce sont nos propos haineux qui détruisent nos communautés. Le fait de dire que nous, la communauté de telle, nous sommes supérieurs à telle sous communauté.

Dictature? Discrimination intolérable? Désignation et l’indexation indigne de prestiférés? Allons donc! Si tel était le cas, on pourrait, par exemple, refuser l’hospitalité à ceux qui ont refusés le vivre-ensemble. On a entendu celà. Il n’en est évidemment pas question. Celà contredirait nos valeurs de solidarité et le devoir citoyen.

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