Les réseaux sociaux aux enjeux comportementaux de Cynthia Fianga
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      Introduction

De son vrai nom Biloa Atangana Christelle Allias, une jeune camerounaise au pseudonyme Cynthia Fianga sur les réseaux sociaux. Au moment de la CAN organisée par le Cameroun, celle-ci debute une carriere denommée influenceuse en partageant ses nudités sur la toile. Sadique que soit, cachait en elle une envie de se faire d’argent en cette période forte où le monde attendait des belles images du cameroun, celle-ci se contenta plutôt de tourner le Cameroun en boucle.

Dans une publication de John penka officiel le 05 juillet sur sa page Facebook « noha FOS-TER CLAC a encore frappé, tout comme la dix-puté avait montré exemple au peuple comment manquer de respect à l’autorité dans un pays normal et bien évidement la reine du djansan a appliqué à la lettre… » fait état de partage des nudités de Biloa Atangana Christelle. De même, d’autres internautes comme Stephane Deffo Deffo et Baronne Swiss Officiel repartagent à plusieurs reprises ces vidéos obscènes sur leurs pages Facebook qui sont allées dans tous les sens, des groupes publiques aux groupes privés.

Affaires cynthia fianga devant les autorités et les reseaux sociaux.

Après ces publications pudiques sur la toile, les autorités publiques sonnent aux éclats de l’affaire en appelant la jeune devant la barre. O cameroun, étale sur sa page Facebook « la jeune cynthia fianga est passée devant le tribunal de première instance ce jour » que la célèbre sextepe des réseaux sociaux expliquait en larme devant le tribunal qu’elle voulait gagner de l’argent à travers ces images et les vidéos postées. Mais hélas sans ignorer qu’elle allait à l’encontre des lois camerounaises dans ses séances d’humiliations et d’expositions de ses parties génitales sur les réseaux sociaux. Ainsi, un dicton connu du droit « nul n’est censé ignorer le droit »  etait une reponse à ses propos mais celle-ci à continuer tête baisser  d’entorser à la loi en s’appuyant sur les arguments balivernes que je ne saurai décrire. Ses clichés des vidéos s’exposant à mondio-vision créant au passage le buzz par-dessus tout, les « sextepes » qui ne ce sont pas malheureusement en reste.

Cependant, les réseaux sociaux aient porté leur jugement, la jeune Biloa Atangana Christelle est arrivée à la prison centrale de Kondengui, elle a été conduite devant le procureur et celui-ci là plaça sous détention provisoire, accuser d’outrage public à la pudeur, l’outrage public aux mœurs et de publications obscènes réprimés par les articles 263, 264 et 265 du nouveau code de la procédure pénale.

Elle purge sa peine de trois mois à la prison de kondengui. A la sortie de la jeune, Mbeng News « cynhia fianga sort de prison et s’apprête à regagner son domicile » sur sa page Facebook, nous fait comprendre que son séjour en prison lui fera conscience de ses erreurs.

Conclusion

L’affaire Biloa Atangana Christelle a coulé beaucoup d’encres et des salives, elle s’est déportée du numérique aux réels. Cette jeune est devenue inflesueuse par ces vidéos qui laissaient croire qu’il n’existait plus des lois dans ce pays, les internautes ont jugés et attiraient l’attention des autorités sur la façon dont la jeune est en train d’impacter l’éducation de leurs enfants. Mais pour mieux frapper il faut raccourcir la manche du marteau, le gouvernement s’est saisi de l’affaire. Mais malgré tout, certains internautes se souciaient de son cas, qu’il fallait plutot un soutien psycho-social, nous révèle Actucameroun, d’où certains fans sont aller sur leurs pages Facebook reclamer la liberation Cynthia Fianga, mais la loi c’est la loi, elle est dure, mais elle restera toujours la loi.

Recommandation

Les réseaux sociaux ont eu gain de cause de par leur jugement sur le comportement qu’incitait Cynthia Fianga. Pour d’autres raisons, le gouvernement doit deja commencer à travailler avec les plateformes numerique pour de contrôle subséquent de certains internautes, de meme que ceux-ci doivent faires confiances aux autorités étatiques pour mettre hors d’état de nuire certains brebis galeuses.

Glossaire

Djansan: produit pharmaceutique pour depigmenter la peau; ce mot est un jargon de la rue, utilisé par les camerounais pour qualifier une personne de dépigmenter.

 

 

 

 

 

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